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Mémoires

LORENTE GALVEZ Esteban
01 juillet 2017
Mémoire M1
"Ce mémoire porte sur les possibilités de représentation cartographiques des récits, afin d’aider à leur compréhension. Qu’est-il important de représenter, comment ? Quels types de cartes peuvent en résulter ? Il s’inscrit dans la volonté de faire valoriser un corpus de textes issus d’entretiens avec des républicains espagnols racontant leur migration depuis l’Espagne jusqu’en France. Un récit issu du livre La Grande Peur de 1789 écrit par Georges LEFEBVRE en 1932 sera également utilisé dans ce mémoire. Ce dernier raconte la propagation du phénomène de la Grande Peur en France. Une première approche théorique de ce qu’est un récit et de leurs différents modes de représentation (films, peinture, sculpture, cartes…) va permettre de dégager des grands aspects des récits qu’il serait possible de représenter cartographiquement. Un état de l’art portant sur la cartographie des récits va mettre en évidence les réalisations qui ont déjà été faites sur le sujet. Nous ...
Mahieux Clothilde
02 juillet 2017
Mémoire M1
Ce mémoire amène à discuter des représentations et diffusions de la donnée d’auscultation d’ouvrage d’art. Il comprend trois parties majeurs : une expliquant l’intérêt des SIG dans les représentations ferroviaire. Une autre déterminant la méthode mise en place pour réaliser le sujet du stage : créer des prototypes d’outils SIG pour la donnée d’auscultation des ouvrages. Et une dernière partie expliquant les résultats, critiques et perspectives de ces différents outils. En effet, on part du constat que les données sont mal organisées et par conséquent cela engendre un coût pour l’entreprise. Ces outils engendrent donc, des attentes de gain de temps notamment pour les topographes qui doivent produire, représenter et diffuser cette donnée.
Cantrel Maxime
02 juillet 2017
Mémoire M1
"L’Aménagement Numérique du Territoire (ANT) est une notion somme toute assez récente corrélant les questions d’aménagement du territoire habituel avec le numérique. Après avoir défini que l’aménagement numérique du territoire était le processus par lequel acteurs publics et privés contribuent à améliorer les conditions d’accès aux ressources du numérique et des nouvelles technologies pour les populations et les entreprises, nous avons regardé quels outils contribuaient à cet ANT. Pour ce faire la solution de la mise en place d’un Système d’Information Géographique (SIG) au niveau du Val d’Oise est apparue comme une solution opportune. Cependant, du fait qu’il s’agisse d’un outil novateur pas encore mis en place, il est logique de nous poser des questions quant à sa mise en place. Le changement d’échelle des Etablissements Publics de Coopération Intercommunal (EPCI) vers le Département des compétences du Numérique pose la question de la connaissance des données du terrain. Pour ce faire ...
Salach Philippe
02 juillet 2017
Mémoire M1
Réservé autrefois à une population restreinte de spécialistes, les systèmes d’information géographique (SIG) commencent à se généraliser au sein des structures des entreprises avec l’apparition d’outils cartographiques partagés. Dans un contexte de transversalité accrue des organisations, l’objectif de ces outils cartographiques partagés est de toucher une large population et de garantir la diffusion des données et des informations. Ces nouveaux outils, principalement présents, ou en cours de conception, au sein des gestionnaires de distribution d’énergie, se décomposent généralement en deux logiciels : un logiciel de création de projets et un logiciel de consultation des projets créés. Mais ces outils partagés constituent-ils une solution pertinente pour répondre aux usages et aux attentes des utilisateurs de gestionnaires de réseaux ? Si l’avancée informatique n’épargne pas le domaine des SIG, nul ne doit oublier que c’est l’utilisation et l’appropriation qui donnent sa valeur à la technologie.
Sergent Thibaut
02 juillet 2017
Mémoire M1
SHD
"Les photographies aériennes issues des archives du ministère de la Défense constituent aujourd’hui un fonds historique aux applications diverses. À la fois utilisées dans le cadre d’enquêtes de dépollution, mais aussi de recherches archéologiques ou d’étude d’évolution de territoire, elles s’avèrent être une source de données particulièrement fiable sur des territoires dont l’état à une époque donnée peut être totalement oublié. À travers ces prolongements de cartes, ces photographies témoignent d’un contexte historique particulier qui permet de percevoir les représentations d’une époque. Aujourd’hui numérisées dans une proportion de plus en plus importante, de nouvelles perspectives s’ouvrent quant à l’exploitation du fond de manière dématérialisée. L’intégration de ces données dans un SIG soulève de nombreuses questions et pose le problème des nouvelles ressources à allouer dans un organisme dont la géomatique n’est pas le cœur de métiers et dont le fonctionnement est étroitement encadré sur le plan législatif. Face à une problématique aussi spécifique, ...
El Fekhar Insaff
02 juillet 2017
Mémoire M1
"Les employés de l’industrie automobile doivent se procurer d’informations empiriques sur le réseau routier pour améliorer les services que peut offrir un véhicule, ainsi que la connaissance de son environnement, que ce soit en termes d’aide à la conduite, ou d’adaptation aux marchés internationaux. L’information géographique étant une base essentielle à la connaissance du réseau routier, elle doit provenir de source connue et officiellement adoptée par les ré-utilisateurs des données spatiales au sein de l’industrie automobile. Les sources sont ainsi diverses, parmi lesquelles l’Open Data spatiale, notamment l’OSM, est proposé comme source éventuellement adaptée aux attentes. D’où l’intérêt de s’interroger autour de cette source et de sa position par rapport à la modélisation des véhicules. Une méthodologie de recherche a été suivie afin d’identifier des éléments de réponse à cette problématique, en commençant par une recherche de l’information afin de valider d’emblée l’éventuelle réutilisation des données OSM. Pour ensuite aller plus ...
Bénévent Robin
02 octobre 2017
Mémoire M1
L’expression « cartographie participative » désigne plusieurs réalités, selon ce à quoi l’adjectif « participatif » se rapporte. Dans le cadre de la concertation, qui est un dispositif relevant de la démocratie participative, il s’agit d’un outil permettant aux parties prenantes d’un projet, c’est-à-dire à toutes les personnes qui y ont un intérêt, de participer à la réflexion sur celui-ci dans le but d’accompagner un maître d’ouvrage dans la prise de décision. La carte n’est parfois qu’un support statique à cette participation, mais Internet la rend souvent interactive, ce qui permet aux parties prenantes de participer à son élaboration. On oppose alors les cartes top-down, ou descendantes, aux cartes bottom-up, ou ascendantes, même si de nombreux auteurs considèrent que les cartes participatives utilisées en concertation relèvent toujours d’une démarche descendante puisque c’est le maître d’ouvrage qui en est à l’initiative. La dénomination « carte participative » s’applique généralement à des cartes interactives publiées sur le web. ...
Di Tursi Fanny
02 juillet 2017
Mémoire M1
"La ville de Paris et la région d’Ile-de-France ont été affectées plusieurs fois durant le siècle par plusieurs inondations, plus ou moins importantes. Celle de 1910 l’a été particulièrement, car il s’agissait d’une crue centennale. Les conséquences de cet événement s’est surtout fait ressentir sur les différents réseaux qui font vivre, en partie, les villes, telle que Paris. Ces réseaux ont parfois des relations d’interdépendance. Celles-ci favorisent l’aggravation des défaillances des infrastructures critiques en cas d’inondation. Leur résilience peut être compromise s’il on ne met pas en place des solutions alternatives qui permettent d’assurer leur redondance, d’une part, mais également si l’on ne favorise pas l’organisation entre les différents gestionnaires, d’autre part. Les solutions palliatives sont censées permettre aux agents d’intervenir plus rapidement sur les composants endommagés des infrastructures. Effectivement, lorsque les voies sont bloquées par les inondations ou fermées par les autorités, il est nécessaire de trouver des solutions ...
Vivet Pierre
10 juillet 2017
Mémoire M2
IGN
Nous assistons à un développement récent et rapide de la dynamique de l’open data avec les lois « Valter » et « Lemaire » depuis 2015. Bien que l’IGN se trouve encore dans un régime d’exception, il doit se préparer à ce que prochainement toutes les données produites soient diffusées gratuitement. Cela oblige l’IGN à passer d’une orientation caractérisée par la production de données à une orientation centrée sur la fourniture de services d’aide à l’usage des données. Produire des services efficaces nécessite de très bien connaitre les usages de l’information géographique et forestière. Mais cette connaissance ne doit pas rester en interne à l’IGN, l’institut doit promouvoir les usages auprès des non-usagers ou de ceux ayant un usage limité de l’information géographique, faire comprendre dans quelle mesure ce type d’information peut les aider dans leur métier. L’enjeu est alors à la fois de connaitre et diffuser les usages. Nous proposerons ...
Turquet Anthony
10 juillet 2017
Mémoire M2
Si nous considérons que l’Open Data est né lors du congrès organisé par la Sunlight Foundation en 2007, nous pouvons dire qu’il fête ces 10 ans cette année. Quel bilan pouvons-nous en faire aujourd'hui? Ce mémoire s’intéresse au rôle et au développement de l’Open Data au sein des intercommunalités à fiscalité propre et tout particulièrement dans les communautés d’agglomération. Les collectivités territoriales et leurs groupements de plus de 3 500 habitants ont pour obligation, depuis la loi NOTRe promulguée en 2015, d’ouvrir leurs données en respectant les principes de l’Open Data. Les intercommunalités répondent-elles à cette obligation d’ouverture ? Nous analyserons les difficultés rencontrées quant à la mise en place du portail Open Data et nous essaierons de les expliquer

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